Y a plus rien, Marsu, y a plus rien.
Je suis de la race ferroviaire qui regarde passer les vaches et dans le coktail Molotov, il faut mettre du Martini, mon petit.
Ah si , quand méme « les larmes dans les yeux dans les filles, la priorité à gauche, » quand nous n’en pourrons plus de rien.
PS : Tu devrais venir voir sous mon article sur Paul Delvaux, y’a un intellectuel qui s’est dévoué....