La référence obsédée au thème de la délinquance était, est et sera une manipulation de l’opinion à des fins électorale.
Ce fut flagrant en 2002, ce qui amena Le Pen au 2è tour, privant les français d’un choix démocratique qui ne se présente que tous les 5 ans.
Ce fut l’outil de valorisation de NS dès sa nomination au ministère de l’intérieur ou toute sa politique avait pour but sa popularité genre « en voilà un qui fait des étincelles » « un vrai dur avec les voyous », « un fonceur qui veut des résultats », etc, etc. Le message subliminal étant « imaginez tout ce qu’il pourra faire en étant vraiment aux commandes », eh oui, avec lui, « tout devient possible ».
Même le pire. Bon, on le sait maintenant. Mais on pouvait savoir aussi en 2002, 2007.
Jusqu’à quand les médias contrôleront-ils nos cerveaux ?
Une panne générale de TV pourrait seule apporter cet oxygène intellectuel qui nous fait tant défaut et qu’on trouve encore un peu sur la toile... A préserver d’urgence.