Les bourses ne peuvent, pour l’instant que bien se porter.
Les banques (les plus grosses) ont reçu l’assurance que les états allaient socialiser leurs pertes. Ainsi : elles vivent sur le compte de chaque humain de la planète, mais, plus grave encore : sur le dos des générations futures.
L’ensemble de la finance est donc confiant sur le fait qu’il tient les états et chaque personne en otage.