Parce que FO, comme l’avait au préalable expliqué Mr Quentin, est attaché au fait que la précarité dont font usage, voir abusent, les grands groupes, bien plus que les PME, ne soit pas taxée pour financer l’effet induit : le chômage.
Il faut savoir que ce sont les PME qui ont poussé le MEDEF à accéder à la demande unanime des syndicat. Le MEDEF a accepté une taxe à hauteur de 1,25% du salaire brut de tout salarié précaire (pour tout type de contrat précaire) le jeudi pour ommettre, in fine, de l’introduire dans la proposition du vendredi ... ce qui a abouti à ce que FO quitte la négociation.
Il aurait été surprenant que FO signe après cela, même si le partage de la charge économique répartie équitablement entre salariés et employeurs (0,04% de hausse de la cotisation UNEDIC) est un concensus difficilement acquis.
A nouveau, la CFDT va se sentir isolée ; même si elle est accompagnée par la CFTC et l’organisation des cadres.