Merci de votre réponse, la conclusion me semblait pourtant écident mais vous ne l’avez pas vue. La voici : Puisque le nombre n’est pas de 3.3 millions mais de 4.6, c’est qu’il n’a pas cru de 1% mais de beaucoup plus, sans doute 20% je n’ai plus le chiffre exact en tête, depuis 15 ans. En tenant compte des naturalisations à tour de bras et de la natalité, grosso modo la population d’origine étrangère a pu doubler, ce qui n’était jamais arrivé auparavant das l’histoire de France. Or, contrairement à ce que vous dites, ce n’est pas une variable X qui ne change pas le sens de l’article, mais au contraire très important. D’autant plus que vous critiquez ensuite dans votre texte ce qui présentent cett ralité, en amalgamant avec les années 30 (alors qu’ils s’agissait à l’époque de gens ayant une culture proche et la même religion). Car la capacité d’accueil des étrangers par un pays Hote et limitée et au dela d’un certain seuil, que beaucoup s’accordent à dire qu’il est largement dépassé, l’intégration, l’assimilation, le métissage, ou quelque que soit le but recherché, cela ne s’accomplira pas bien. .
Ma critique n’est donc pas du tout sans intérêt car c’est une loi connue en physique que la multiplication a des effets pervers. Si il faut 2 toilettes pour 10 employés, cela ne veut pas dire que 20 sont nécessaires lorsqu’il y a 100 employés (c’est la théorie des files d’attente qui calcule cela et le chiffre doit tomber vers 6 ou 8). De la même façon, si un prof peut réussir à apprendre le Français et expliquer ce qu’ils ne comprennent pas à 4 enfants de langue étrangère dans une classe, on ne peut pas concevoir de mettre 3 profs lorsque la classe compte 12 élèves de langue étrangère par exemple
Cela illustre le fait que les chiffres sont importants.
Ceci dit, c’est très bien de vouloir vous battre, c’est un noble combat, encore faut-il ne pas fermer les yeux sur le problème du nombre qui est réel.