Il faudrait nous expliquer en quoi l’immigré clandestin est une « victime » !
Sans compter que des gens qu’on nous présente fréquemment comme des désespérés sont, en réalité, des priviliégiés dans leur pays d’origine, puisqu’ils ont la possibilité de consacrer des mois voire des années de pouvoirn d’achat pour payer le voyage et rétribuer les organisations mafieuses spécialisées dans la traite des simplets.