On ne peut pas dire qu’ici la censure prétendue du pouvoir s’exerce, comme sur une foultitude de lieux virtuels de la toile. Il sera intéressant de constater si tous les alarmistes ci-dessus qui décèlent la fin de notre liberté d’expression sur le net viendront reconnaître ici leur erreur en 2012, si finalement rien n’a changé dans la latitude de s’exprimer.
Rendez-vous est pris.