Je suis sure que toutes les victimes des catastrophes naturelles liées au climat qui se sont multipliées ces derniers années apprécieront, enfin celles qui y ont survécu.
Quels que soient les intérêts d’Al Gore dans cette affaire, ils n’invalident pas la thèse du GIEC, pas plus qu’ils ne confirment pas la thèse opposée.
Le tout relève du principe de précaution. Si les changements climatiques sont réels, il est probable qu’ils auront un impact sur notre mode de vie, ne serait-ce que par les migrations qu’ils provoqueront. S’ils ne le sont pas, ils auront provoqué une crise de conscience, et des interrogations sur la soutenabilité de la consommation des pays développés.