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En réponse à :


Je suis d’accord avec votre article que j’avais d’ailleurs repéré en modération. Pour ce qui est de la liberté de création et de la qualité, la musique populaire s’est formatée au maximum pour se vendre au plus grand nombre. Un réflexe conditionné fait que le consommateur aimera telle chanson dès les première mesures. Et comme il n’est pas initié à la bonne musique, il rejettera comme « nulle » des oeuvres plus intéressantes.

Les chansons servent de support aux annonceurs publicitaires sur les radios. La « rebellitude » des chansons est d’un ridicule ! Elle est le moyen de vendre aux ados qui se prennent pour des révolutionnaires. L’exploitation de l’émotion dans les chansons douces vire à la mièvrerie, au convenu, à l’affectation des sentiments. Cela beugle mais c’est de l’émotion factice - les trucs pour toucher les cordes sensibles de l’émotion du consommateur sont bien rôdés : intonations vocales particulière, violons...Ce n’est pas du vécu, de l’authentique comme Brel, Piaf, Barbara ou d’autres.

J’ai écrit plusieurs articles sur l’histoire de la musique sur mon site « taverne des poètes » (voir cv) où je les ai regroupés par genres ; jazz, chanson, baroque, classique, rock...
Avec liens pour écouter les morceaux.

Merci pour votre article.


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