Article sobre et intéressant.
Je ne suis pas le procès et me garderais bien de porter un jugement, d’ autant plus que nous avons connu dans notre entourage un « déni de grossesse » sans conséquences aussi horribles car les grands-parents se sont chargés de l`enfant.
Le « blues » post-partem ne suit pas aussi immédiatement la naissance qu’il puisse expliquer ces trois infanticides.
Je retiens cette remarque très juste :
« » Qu’une tribu, des relais s’organisent autour de lui, comme en Afrique,
le désarroi de sa mère, d’ailleurs allégé, ne l’affectera guère ; mais
nos sociétés ne s’y prêtent pas. Trop isolée dans cette aventure (ici,
flanquée d’un mari ignorant jusqu’à son état !), tout le monde n’a pas
la force de surmonter le « blues » post-partem -« » ... et d’assumer une ou des grossesses inattendues.
. Que dire de plus sinon que ces mères ont besoin d’être soignées avant qu’elles ne commettent l’irrémédiable et détruisent leur famille.