Dommage que vous n’ayez pas été plus lue, car votre sujet prend, d’année en année, toujours plus d’importance dans une société médicale guidée par les intérêts financiers des uns et la course à la notoriété des autres. Avec des risques de dérive qui ne relèvent ni du fantasme ni d’un fanatisme anti-greffe.
Bravo pour cet acte de questionnement et de pédagogie sur lequel j’aurais aimé pouvoir m’exprimer plus longuement, mais, hélas, le temps me manque...