Plutôt pour une démocratie très participative et à géométrie variable au niveau local et des instances globales qui se réuniraient au coup par coup lorsque la nécessité se feraient réellement sentir (danger pour la planète ou les humains).
Au niveau local chacun ferait comme il veut tant qu’il respecterait quelques points indépassables du genre « tu ne tueras point, tu n’imposeras pas ton point de vue par la force, etc », si un élément n’est pas d’accord avec la majorité de sa démocratie locale, il pourrait aller dans celle qui lui convient... pas de frontière, pas d’appartenance ad vitam eternam, l’impermanence étant la règle.
Tout ce qui importerait serait que chaque humain puisse vive dignement, que chaque forme de vie puisse s’épanouir sans entraver l’épanouissement des autres formes de vie...