Pour Poulidor et Anquetil, cela tenait au fait que le premier semblait au public beaucoup plus sympathique que le second.
De plus, la plupart des Français étaient encore proches de leurs origines rurales et Poulidor collait mieux à cette culture que le fêtard Anquetil.
Enfin, le Limousin avait, à tort ou à raison, l’image d’un coureur sain tandis que le Normand traînait une réputation douteuse en matière de... préparation !