@ Sandro ;
Avec la quantité de gens qu’on tue, le nombre incroyable de figurants qu’on laisse mourir pour créer l’ambiance et, surtout, l’absence de suspense - car tous les bons comme les mauvais sont tôt ou tard refroidis - il est clair qu’il faut monter d’un cran. Le grand polar, qui reste a écrire, montrera comment on a tué une civilisation.
En attendant, voyez grato ce petit polar rigolo sur comment tuer un pays. Un classique. Attentat, séduction, torture, motards au grand coeur, politiciens équivoques, des Américains ambigus et, pour faire réaliste, la corruption partout. Tout ça au pays des bébé phoques... Ceci n’est pas une pub
Le polar, c’est « le printemps de Libertad ». Ne vous écartez pas, il y a des textes plus dangereux..
Pierre JC Allard