D’après l’article cité comme source, il s’agirait de 296 000 milliards (trillions en anglais), donc effectivement des billions en français.
Imaginez ce qu’un taux de défaillance même faible (genre 5%) peut impliquer comme somme (dans l’exemple, 15000 milliards soit un an de PIB américain).
Et après on vous dit que la crise est finie...