Jusqu’au milieu des années 70 les médecins et même les grands patrons fumaient au lit du malade pendant les visites. Il y avait des cendriers siglés AP/HP. Les malades fumaient même en salle commune, aujourdh’hui disparues.
Maintenant, certains malades se traînent péniblement pour aller fumer à l’extérieur.
Ceux qui n’ont plus que quelques jours ou semaines à vivre, qui ne rentreront plus jamais chez eux sur leurs deux pieds, méritent au moins un peu de compassion.