La seule parade : rendre l’entreprise démocratique, où chaque employé/salarié aurait un pouvoir de vote proportionnel au chiffre d’affaire qu’il aurait rapporté.
Toute autre solution passera soit pour de l’interventionnisme dictatorial (de quel droit un état peut-il imposer un salaire minimum ou maximum ? comment définir cette valeur en fonction de l’inflation par exemple ?) soit au contraire la loi de la jungle où le plus friqué décide (c’est une autre dictature, mais de l’argent cette foi)