J’habitais un village producteur de tomates, d’oignons et de raisin.Quand l’épicière vendait sa production ( à 35 F les 10kg). Nous avions des tomates, des vraies, même si on ne pouvait pas les qualifier de « bio ».Depuis sa mort, si on ferme les yeux, on ne sait même plus dire ce qu’on est en train de manger.
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