6.60 euros voilà ma contribution à ce film le droit d’entrée au ciné ce samedi
Mon choix ne fut pas le bon, l’ennui m’a envahi. C’est long et téléphoné
Ce film n’est pas un chef d’œuvre arrêtez ce battage publicitaire outrancier
Le scénario ne tient pas la route, encore moins debout
La prison :
D’un côté des Arabes, des musulmans : Ils n’y a que ça dans nos prisons françaises dans ce film selon Audiard
De l’autre des Corses, insulaires français, qui tiennent leur rôle de parrain respect traditions, grotesque caricature
Entre cette population, des matons Français seuls représentants de la société démocratique Française ils contrôlent, exclusivement, les sous bras, les gorges et les trous du cul selon Audiard
Les prisons sont délabrées, insalubres, de cette situation l’état, c’est-à-dire nous, est déjà informé ; Audiard démontre dans ce film qu’il n’est nullement nécessaire de poursuive d’investir nos impôts dans la construction de prisons puisque ces bâtisses ne sont exclusivement réservées qu’aux Arabes et musulmans
Audiard donne raison dans son comte pour délinquants primaires de banlieue, que tout est possible en prison comme à l’extérieur même en liberté préventive la vie est la même
Le détenu fait ce qu’il veut. Pas de contrôle auprès de son employeur ni de son tuteur. Audiard prend vraiment ce milieu et les gens qui y travaillent pour des cons
Audiard n’a pas consulté les officiers de la sécurité du territoire et je pense qu’il ignore absolument tout du peuple Corse et de leurs codes. Par contre Audiard est bien renseigné sur le caractère culturel des Arabes
Comment un Corse pourvu de tels pouvoirs ne peut-il pas se « débarrassé » de ce petit « héros » arabe selon le scénario élaboré par Audiard dans ce film
Il n’y a rien dans ce film qui puisse retenir une émotion, une morale une vie. Que Madame Fadela Amara se rassure ce film est très loin de la réalité actuelle de la société française qui vit avec ce spectre empirique néfaste que représente les arabes et musulmans sur notre territoire
Un souhait si M. Audiard veut continuer l’exploitation de film sur le même thème qu’il rencontre un prophète qui lui prodiguera une sérieuse documentation sur ce sujet pour lequel il est passé tout à fait à côté