Marc Bruxman, effectivement, vous pointez la question centrale qui sous-tend tout ce bazar, celle de la légitimité de l’anglais comme langue internationale « number one ». Quelques filières avec de l’allemand, un zeste de l’italien, un soupçon d’une langue rare et ou d’anglais, voilà l’avenir des sections européennes. Le reste, c’est de l ’habillage pédagogique, du blablabla démago pseudo-culturel. Que la France ne se plaigne pas le jour où l’anglais sera officiialisé comme langue de l’UE, ni l’italie ni l’Allemgane qui ont rendu l’anglais obligatoire au primaire...