Le constat que vous faites est partagé. Ce qui est « drôle », c’est que tout ça se fait aux yeux de tout le monde comme si cela relevait d’une fatalité. On s’y résigne comme si ainsi allait la vie.
Je pense qu’il revient aux africains de ne pas attendre que la démocratie leur soit offerte. Il revient aux africains de comprendre qu’ils sont engagés dans une lutte semblable à celle qui était engagée pour les indépendances.
Je pense que cela a un coût, je pense que cela demandera des sacrifices. J’espère que nous africains avons compris quel est notre nouveau challenge.
Merci pour votre attention
Realchange