J’essaye un peu de comparer votre exemple à la situation en Angleterre. Il me semble que les difficultés que vous évoquez sont principalement administratives. Dans mon cas, je n’ai pas eu à déclarer quoi que ce soit lorsque j’ai commencé à travailler. J’ai simplement dû payer des cotisations de retraite qui sont forfaitaires et minimales, que toute personne active doit payer. Par contre en fin d’année fiscale, j’ai fait ma déclaration d’impôts, et j’ai donc payé sur mes bénéfices mes impôts plus un pourcentage de mes bénéfices correspondant aux cotisations sociales. Le succès de ce statut en Angleterre vient de sa souplesse administrative.
Quant à la panne informatique, cela fait partie des aléas du métier. Peut-être le piège de ce statut est de penser que l’on peut créer une micro-entreprise avec des bouts de ficelle, cela dit sans méchanceté aucune.