Le trou dans la couche d’ozone n’était qu’une campagne de lobbying de la société Dupont de Nemours, seule capable de produire des substituts de CFC à l’époque et qui s’est ainsi démerdée pour valoriser ses produits avant que la concurrence ne soit en état de faire de même.
Pas étonnant que l’on n’en parle plus.
Çà doit être la première fois que les ecolos-à-deux-balles (je nomme ainsi les crétins qui se pensent malins de promouvoir la voiture électrique ou le recyclage du papier sans jamais s’interroger sur l’ensemble de la filiére ou le bilan écologique global) ont fait une aussi belle campagne de pub -non rémunérée, au contraire, quels cons- mains dans la mains avec nos brillants media et baveux.
Digne d’une bien mauvaise comédie de boulevard.