Kleuck raconte des salades.
Le trou dans la couche d’ozone commence aujourd’hui timidement à se résorber. Ce grâce à l’interdiction des CFC décidée lors du traité de Montréal.
Conclusion : heureusement que les scientifiques ont été écoutés, et pas les imbéciles paranoïaques qui s’imaginent que les activités humaines n’ont pas d’impact sur l’atmosphère.
Souhaitons que la voie de la raison l’emporte aussi concernant les GES (bien que le défi soit encore plus difficile).