Entièrement d’accord avec l’auteur.
L’UNESCO n’est pas une tribune pour afficher la fierté nationale d’un pays. Ce choix était le bon, puisqu’il écarte toute polémique en choisissant « celui qu’on attentait pas » et replace l’organisme dans son rôle premier : l’éducation.
Dommage, que l’éducation ne soit pas une priorité pour les détracteurs, ils en auraient bien besoin.