Je suis nouveau sur ce forum et j’ai été séduit par les articles très bien argumentés de Vincent Bénard. J’ai aussi relevé de très bonnes réponses (et d’autres moins bonnes !) et j’ai fait une sélection qui diffère des points relevés par Vincent Bénard dans ses réponses (voir ci-dessous).
perlseb
« Moi je pense vraiment que les Chinois n’ont absolument pas besoin des Américains qui achètent des choses réelles avec une monnaie de singe. On ne peut pas être dépendant d’une monnaie de singe, sauf si l’on a trop de scrupules à la créer soi-même : c’est apparemment la seule chose que les Chinois ont et que les Américains n’ont pas, les scrupules. »
@ Internaute
« Concrètement, dans cette structure autoritaire à la chinoise, la dette de 2 T$ des USA n’a pas à être remboursée. Elle peut servir de caution à l’émission de 2 T en monnaie locale que le gouvernement peut utiliser à sa discrétion... Sans perdre son pouvoir menaçant de mettre les USA en faillite instantanément. »
Internaute
"La conclusion, comme certains paragraphes qui rentrent dans l’imaginaire économique, montre un biais mondialiste quasi religieux chez l’auteur et ne correspond pas au corps de l’article, fort intéressant par ailleurs.
Le fonctionnement normal de l’économie est la complémentarité. La cupidité lui a substitué l’économie de remplacement. C’est le chaos partout, chez les exportateurs comme chez les importateurs et seuls les grands marchands internationaux y trouvent leur compte. Le protectionisme bien compris est donc la seule solution durable. Cela ne veut pas dire créer des forteresses mais simplement prendre conscience des différences de développement dans des blocs économiques.«
chantecler
»J’ai plutôt le sentiment que d’avoir confié à un pays si peuplé la majeure partie de la production industrielle mondiale n’est pas pour rien dans la ruine de nos pays.«
J’aime particulièrement cette remarque pleine de bon sens de »Chanteclerc" . Comme souligné par d’autres le point faible de Vincent Bénard est une vision économique quasi religieuse en faveur d’unsystème économique qui bas de l’aile.