On a dit : aucun être sain d’esprit ne livrerait une information qui lui serait préjudiciable.
Mais il y a deux subjectivités en jeu, et ce qui est bon pour l’émetteur ne l’est pas forcément pour le récepteur.
Je crois qu’on peut dire simplement : une info c’est un message utile au récepteur ; une communication c’est un message utile à l’émetteur.
Oscar Wilde disait : « Quant au journalisme moderne, ce n’est pas à moi de le défendre. Il justifie son existence par le grand principe darwinien : c’est le plus vulgaire qui survit. »
Et Boris Vian : « Tout sauf la vérité, il n’y a que ça qui ne se vend pas »