Le problème, et j’ai eu l’occasion d’en discuter avec des magistrats, vient hélas trop souvent d’une surcharge de travail (pour cause de moyens insuffisants) qui entraîne un traitement trop superficiel ou trop rapide de certains dossiers.
Cela n’excuse pas les erreurs parfois dramatiques, mais cela peut en expliquer quelques-unes. Mais c’est malheureusement souvent trop tard pour les victimes.
Encore plus irritante est la solidarité corporatiste qui se manifeste lorsqu’un magistrat a commis une grosse bourde par négligence coupable. Et là, c’est insupportable !