Question vraiment intéressante.
Vue de l’auteur, la question est : faut-il, pour nous puissances coloniales, garder le butin de ce colonialisme ?
Et je comprends très bien son point de vue : ma famille paternelle a fait un détour de plus
d’un siècle par l’Algérie.
Elle y a laissé le sanatorium de Rivet, le lycée de Constantine, celui d’Alger, ...
Et je pose une question : comment a été gérée la dépouille de Savorgan de Brazza ?
Je dispose (collection familiale), de photos de son enterrement à Alger en 1905. En 2006 ses restes ont été transférés à Brazzaville (en non dans le village dont j’ai oublié le nom mais où il souhaitait reposer).
Il ne faut pas oublier que si l’on a un si riche aperçu de l’antiquité et de l’histoire en général, c’est que nombre de celles-ci sont actuellement dans les grands musées occidentaux, le British Museum en tête.
Aussi, sans être aussi pro-colonial que « charles Martel », je comprends la position de l’auteur mais je préfère voir ces pièces, dont des chefs-d’oeuvre, là où elles sont actuellement.
Et la question est effectivement en débat intéressant.