Beau discours, belle construction qui ignore les jeunes déjà défavorisés voir en forte « situation de handicap ». Pour cette ’catégorie" ce contrat est à assimilé à une mesure inhumaine qui prolonge jusqu’à plus soif la désespérance accumulée pendant l’échec de la scolarité. Deux années de servitudes lorsqu’on retrouve le soir un environnement aidant financièrement, culturellement, psychologiquement, ... N’est qu’un mauvais moment à passer, mais lorsqu’on est déjà fragilisé par plus de dix ans de galères et qu’il n’y a pas ou plus de ressources dans l’environnement proche, cela peut être la fin.