Non, le libéralisme a définitivement un prêt-à-penser autrement plus inconséquent que ne veut l’admettre l’auteur :
L’intérêt individuel peut être privilégié à court-terme de par sa lisibilité contre le long-terme ;
Dans le cadre de la crise actuelle ou celle d’Enron, l’intérêt individuel des dirigeants rentre pleinement en conflit avec l’intérêt de 300 000 salariés ;
L’éthique scripturale dont s’amourachent régulièrement les libéraux n’a strictement rien à voir avec les faits, et l’entreprise présente cherchant à blanchir la cause ne fait aucunement illusion.