Merci, Jack Mandon, de cette lecture bienveillante.
Vous avez raison de parler de « cerveau ouvert ».
Il suffit de passer le champ du drap chirurgical pour voir le cerveau palpitant, mis à nu et « travaillé » par l’outil que le chirurgien appelle pour rire « le vroum vroum ».
J’essaie toujours, avant l’intervention, de réconcilier les patients avec leur cerveau en leur disant à quel point il est beau et à quel point il est ingénieux....