Vous oubliez dans votre article les stages de récupération de points assurés par des société privées certifiées, donc forcément dirigées par des lobbys proches du pouvoir.
Les sommes faramineuses récoltées ne sont donc ainsi pas reversées au profit de l’intérêt général, à savoir une vraie prévention routière, et de la sécurisation des zones accidentogènes.
Sinon bien d’accord avec vous qu’il existe beaucoup d’incivilités routières bien plus graves que de petits excès de vitesse mais difficilement sanctionnable (téléphone au volant, absence de clignotant, conducteurs distraits, ...).