Monsieur Fergus s’ est dépassé lui-même dans ce récit relatant avec exactitude la vie des années 50-55 du siècle passé .
Formidable description .
Anecdote : Quand j’ étais môme je savais marcher sur les mains pendant des kilomètres .
Le dimanche matin en short et coiffé de mon béret je faisais le tour des bistrots dans la position du marcheur à l’ envers et ensuite je passais avec mon béret receuillir les pièces que me donnaient les spectateurs .
Un bon souvenir .
Merci Fergus pour ce beau tableau .