Conclusion :
la garde à vue ne fait pas partie de l’identité nationale.
Et nous aurons à nous excuser de toutes ces intrusions choquantes, vicelardes, peut-être en les ramenant à leur basse procédure de viol, si ce n’est de l’identité nationale, de l’identité bafouée de certains de nos concitoyens.
La montre, nous l’avions : il suffisant de nous écouter vous donner l’heure !