Avec l’annonce d’un Grand Emprunt, Sarkozy comptait réussir un coup politique et redorer son image grâce à une adhésion massive de nos concitoyens.
La réalité des comptes du pays, les mauvais sondages sur les intentions des Français, et la menace d’un périlleux déclassement de la France par les agences de notation ont eu raison, d’une part du recours à l’épargne populaire, d’autre part du montant significatif qui était censé booster notre économie.
Apprendre maintenant que la majorité des sommes supplémentaires qui seront empruntées sur les marchés servira à des dépenses de fonctionnement ne fait qu’ajouter à ce lamentable épisode d’économie politique.
On savait Sarkozy bien piètre économiste et plus soucieux de coups politiques à visée électorale que de saine gestion, on s’aperçoit qu’il est encore pire que ce que l’on pensait !