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En réponse à :


morice morice 27 novembre 2009 23:00

Et je ne me trouve pas méchant : c’est écrit exprès pour ses élèves : s’il y en a un qui lui balance un jour, elle saura d’où ça vient. Ce jour-là ma tête à couper qu’elle l’enlève (marrante, l’expression elle va me dire que je pratique la charria !) ah ah ah !!


Au Moyen Age, lorsque les enquêtes concernant la culpabilité d’une personne s’annonçaient longues et fastidieuses, on préférait soumettre les accusés à une épreuve appelée le « jugement de Dieu ». Celle-ci existait de différentes manières. Il pouvait s’agir de tournois, de duels, mais également d’autres formes d’épreuves beaucoup plus radicales. On attachait parfois un accusé par les poignets et par les chevilles et on le jetait dans l’eau. Si son corps flottait, c’est qu’il était coupable. Il pouvait également s’agir de tenir dans ses mains une barre de fer sortant des braises ou encore de laisser sa main dans les flammes. Si elle en ressortait indemne, cela signifiait que l’on était innocent. « Mettre sa tête à couper » est donc une référence à ce « jugement de Dieu », et on l’emploie lorsque l’on cherche à convaincre une personne que l’on a raison.

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