disons que je voulais parler de l’opinion commune, ordinaire, hélas forgée par les blabateurs des médias qui s’ébaubissent sur quelques faits spectaculaires produits dans les labos telles des pommes de Newton tombant dans le cerveau du scientifique. Le vulgaire n’était pas tant un substantif qu’un adjectif substantifié pour désigner le résultat d’une opinion formé par des vulgarisateurs.
Faudra que je fasse un jour le point sur la question des scientifiques qui doivent savoir chercher