Et si c’était un abandon temporaire des sciences, pour enfin s’intéresser à une philosophie de vie, où chaque humain se verrait sa nature d’homme et sa liberté restituées ? Je ne trouverais cela pas si destructeur que ça, bien au contraire, j’estime que nous avons besoin de décompresser un peu, d’arrêter de courir derrière le progrès, et de résoudre les problèmes humains avant de continuer à aller presque sans relâche dans le sens du progrès. Il y aura un temps où, sages de notre expérience, nous pourrons continuer vers de nouveaux horizons, mais il est grand temps de faire une halte, de soigner les blessés, de recharger les batteries, pour repartir de plus belle.