Je rajouterai que seule l’impopularité grandissante permet d’arrêter une guerre aux USA (comme ce fut le cas pour le Viet Nam).
Mais les décideurs ont compris la leçon : pour qu’une guerre dure et rapporte le plus longtemps possible, il faut qu’elle soit acceptée le plus possible, dès le départ. Donc évènements de plus grande ampleur, plus spectaculaires (11 septembre) avec un matraquage médiatique incessant présentant le diable en personne, l’ennemi à combattre.
Quand cette guerre s’essouffle en popularité, alors on prépare la suivante (l’Iran ?)... C’est sans fin, tant que ça rapporte. Le peuple ne tire jamais profit d’une guerre.