Cher Jack Mandon,
Je suis sensible à la poésie de votre première phrase :
La rose demeure en son essence, nous n’attachons que les noms en leur nudité.
Et j’approuve la seconde, dont le e final me ravit (hommes et femmes confondues) :
vous avez bien introduit le féminin dans les hommes, votre pluriel ne faisant pas, selon les règles grammaticale, « gagner » le masculin sur le féminin...
Bonne soirée