« jusqu’à ce qu’un point de non retour soit franchi » ce point de retour ne sera jamais ni atteint ni franchi, il s’agit d’une fuite éperdue vers l’avant qui ne va s’arrêter que par la « volonté » de la rue et ce pour le pire d’abord et soit disant le meilleur ensuite. Les metteurs au bain de sang, les révolutionnaires de l’époque, s’affubleront de la phraséologie qui sierra à partir d’une quelconque théorie politique nauséabonde et tout recommencera comme avant sous d’autres formes avec la phrase fatidique : plus jamais ça.