On a beau s’égosiller comme des malades, la majorité silencieuse, la gueule pleine broute ses dernières bouchées, endormie par les médias lénifiants.
Un ptit coup d’anesthésiant, et hop, à l’abattoir.
Que ceux qui ont les yeux ouverts pensent à eux, se mettent à l’abri de la barbarie ambiante, chacun pour soi, et les dieux actuels pour les couillons crédules.