Merci, Jack, de ce Billet serein et doux...
On y pénètre et on en ressort délicatement.
Deux belles images de femmes autour de Camus.
La grand-mère, peut-être redoutable, mais si structurante...Matriarche et peut-être patriarche ?
Elle aurait pu menacer le développement,
l’épanouissement, l’indépendance de l’enfant,
au lieu de cela elle lui a permis de devenir Camus, cet homme qui ne voulait pas que la haine engendre la haine...
La mère, sourde et analphabète , qui apporte et accueille l’amour, et ouvre l’enfant aux mots qu’elle ne peut entendre, lire ou écrire, et qu’il entend, lit et écrit, sans doute aussi pour elle, deux fois...