« Je crois qu’il y a un dernier facteur qu’il ne faut pas oublier.La peur.La peur de ces »nouveaux barbares« qui se pressent à nos frontières.La peur de ne plus réellement compter, de voir un Indien lancer une OPA sur notre industrie , de nous habiller de pied en cape »made in China« .Surtout la peur de nous sentir incapables de nous projetter dans un monde que nous ne maitrisons plus. »
Bravo, c’est bien cela, je ne pense pas qu’il faille chercher ailleurs. J’ai mme envie d’écrire que c’est exactement ce sur quoi il y a à travailler pour assurer la pérénnité et assurer l’avenir. C’est un défi à relever, c’est ce qui vaut la peine, je crois.