Plusieurs photos montrent des ombres portées dans des directions
différentes, alors que la lumière solaire venant de suffisamment loin,
toutes les ombres devraient être parallèles.
Ce ne seraient pas les ombres qui ne seraient pas parallèles,
mais le relief du sol qui en donnerait l’illusion. De plus, si une
seconde source de lumière était présente, les ombres seraient
dédoublées, ce qui n’est pas le cas sur la photo.
Les appareils photo étaient difficiles à manipuler dans le contexte
lunaire et en combinaison spatiale, il est donc difficile de comprendre
comment autant de photos de bonne qualité ont pu être prises.
Il suffit d’imaginer le nombre titanesque de photos qui ont été
prises pour comprendre que certaines aient été réussies. Les optiques
utilisées étaient des grand-angulaires, et le format du 6 x 6 cm,
ce qui permettait une grande profondeur de champs et une marge pour
éventuellement « recadrer » les images avant leur diffusion.
Durant l’alunissage, tel qu’il était conçu, le module aurait dû être déséquilibré.
Le réacteur du module en alunissant aurait dû brûler et chasser la poussière de dessous le LEM, ce qui aurait créé un cratère qui n’est présent sur aucune image.
Le réacteur n’est pas suffisamment puissant pour brûler le sol,
et la couche de poussière n’est pas suffisamment profonde au site de
pose pour qu’on voie un cratère. Sur les photos des missions suivantes,
la couche de poussière était plus importante, et le cratère apparaît.