D’accord avec vous, Shawford ; le trait de Franquin a atteint un rendu du mouvement , de la « vie » ; tant des personnages que des décors et des objets, jamais égalé.
Tous les dessinateurs de BD (jeunes et moins jeunes) sont d’ailleurs unanimes dans leur admiration pour le maître.
On peut signaler, également, la série concoctée pour « l’ennemi » : le journal de Tintin, (alors qu’il s’était brouillé avec Dupuis, éditeur du journal de Spirou) : Modeste et Pompon, dont certains personnages annoncent déjà l’univers de Gaston.