Morice encourage le plaisantin, car il n’avait jusques ici jamais trouvé aussi obsessionnel que lui.
Cet encouragement se mesure donc à l’aune du pathos, les amis !
On y devine une imploration :
« Ne me laisse pas seul avec mes lubies, mes névroses, mes pertes de temps !...
-combats comme moi aveuglément, sans relâche, jusqu’à l’épuisement !...
-tous deux, nous nous ferons Balzac(s), intarissables sources de mots, écrivains forçats réalimentant notre inspiration à même des fleuves, des torrents de café ! »