Ils n’auront pas, ils ont. Le grain de blé, le vrai, le pur, celui qui est écarté non pas par les consommateurs mais par les distributeurs sous influences.... Ce grain de blé dis-je, qui ne correspond pas à la surconsommation industrielle, il est toujours dans la nature. Et comme les espèces en voie de disparition, va falloir le préserver du pouvoir, de l’argent, de la malbouffe.