Vu les maigres moyens de la justice (et qui vont se réduisant encore), le juge des tutelles n’a déjà pas le temps de contrôler les mesures qu’il confie aux tuteurs (cf : l’affaire de l’UDAF 64 citée dans l’article). Par conséquent, on peut dire, hélas, qu’il n’y a pas de contrôle.